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A PROPOS

Issue d'un monde artistique je transcende très tôt mon inspiration du monde vivant au travers de différents arts graphiques et outils.
 
A mes 13 ans, l'appareil photo s'empare de mes mains et de mon regard et ne me lâchera plus jamais. Je me mets alors très vite à illustrer par l'image mes émotions ressenties lors de mes pérégrinations forestières solitaires et de mes rencontres sauvages qui deviennent instantanément indispensables à ma vie.

A partir de 2013 j'obtiens mes diplômes en Arts Appliqués puis en Architecture, puis chemine un certain temps dans différents métiers du bois : charpente, menuiserie, marqueterie.


Aujourd'hui je m'épanouie à travers la création (photographie, peinture, illustration, ...) que je partage au cours d'expositions.
J'aime mettre en avant l'
humain dans toute sa poésie et revaloriser l'artisanat par l'intermédiaire de reportages photos et vidéos.

Enfin je me réalise à travers la transmission et l'engagement pour le vivant.
Animatrice nature au sein de l'association Je suis la Piste, ainsi que membre active dans le Groupe d'Intervention Périgord Pistage en tant que pisteuse, je mets mes connaissances aux services de différents projets de préservation de savoirs ancestraux et de la faune sauvage, ainsi que de cohabitations Homme-Faune sur le territoire de la Nouvelle-Aquitaine.

Pour toutes autres demandes, n'hésitez pas à me contacter ici, je me ferais un plaisir de vous répondre. Merci !

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Inès Rincé

jesuislesauvage@gmail.com

Aquitaine, France

PRESSE - RADIO

Article FRAGIL MAG
Exposition "Pour l'Amour de l'Art" 
Nantes, 2021

"Sous le pseudo « Je suis le Sauvage » la jeune photographe vidéaste est présente pour mettre de la couleur dans les rues de Nantes. Emmitouflée sous ses vêtements chauds face à l’hiver, son sourire déterminé se devine derrière son masque." [...] 

L’effet est réussi ! Une exposition se révèle, attirant les passants curieux. [...] Un couple d’habitants s’approche également, ravis de cette initiative. Le mari accepte de répondre à nos questions « Je trouve ça bien, surtout avec l’ambiance en ce moment. » Sa femme ajoute « On comprend parfaitement la détresse des artistes, on se sent également frustrés par l’impossibilité de voir des expositions. [...] Le groupe continue pendant plusieurs heures sa maraude. Plusieurs lieux vont ainsi devenir des musées à ciel ouvert, pour le plaisir d’un public adepte ou non de l’art. Les poteaux en béton des nefs, les plots des quais et le garde corps de la passerelle Victor Schoelcher seront habillés par les artistes colleurs en herbe."

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